Pépinière Rochon

Nos porte-greffes

Bud9

Fruit de la recherche russe, le B9 (Budagovski-9) est considéré par certains comme étant le plus rustique des porte-greffes nains. Aussi, le B9 a une résistance ontogénique face au feu bactérien, c.-à-d. qu’il gagne sa résistance en vieillissant. Le tuteurage et l’irrigation sont fortement recommandés lorsqu’on plante ce porte-greffe.

G41

Nouveau porte-greffe issu du programme de recherche américain de l’Université Cornell à Genève, sélectionné en raison de sa résistance à la bactérie Erwinia amylovora (feu bactérien). Historique de moins de 10 ans en sol québécois.

Bud10

Nouveau porte-greffe issu du programme de recherche russe, sélectionné en raison de son gain de vigueur, de son meilleur enracinement et de sa résistance à la bactérie Erwinia amylovora (feu bactérien). Historique de moins de 10 ans en sol québécois.

G11

Nouveau porte-greffe issu du programme de recherche américain de l’Université Cornell à Genève, sélectionné en raison de sa résistance à la bactérie Erwinia amylovora (feu bactérien). Historique de moins de 10 ans en sol québécois.

M9 Cépiland (Pajam2)

Le premier choix des producteurs européens. Réputé être le type M9 le plus vigoureux, il a une très bonne incidence sur le calibre et la coloration des fruits. Ce porte-greffe offre une mise à fruit rapide du pommier. Recommandé pour les vergers de fortes densités. Il est essentiel de tuteurer et d’irriguer une plantation sur M9 Cépiland.

M26

Le M26 produit un pommier de type nain. Idéal pour ceux qui recherchent un peu plus de tonus dans une parcelle de forte densité sur cultivar démontrant peu de vigueur (p. ex., Honey Crisp). Il est préférable de le tuteurer. Il peut être planté immédiatement après la destruction d’une parcelle puisqu’il est très peu sensible aux nématodes et à la maladie de la replantation.

G935

Nouveau porte-greffe issu du programme de recherche américain de l’Université Cornell à Genève, sélectionné en raison de sa résistance à la bactérie Erwinia amylovora (feu bactérien) et au Phytophtora (pourriture du collet). Historique de moins de 10 ans en sol québécois et de vigueur comparable au M26.

G969

Nouveau porte-greffe issu du programme de recherche américain de l’Université Cornell à Genève, sélectionné en raison de sa résistance à la bactérie Erwinia amylovora (feu bactérien) et au Phytophtora (pourriture du collet). Historique de moins de 10 ans en sol québécois.

M7

Le M7 est un bon choix pour les sites un peu plus difficiles. Les arbres sont bien ancrés, robustes et rustiques. Il est un peu plus petit que le M106 et a longtemps été le semi-nain le plus planté aux États-Unis. Le calibre des fruits demeure intéressant même par saison sèche. Il a tendance à drageonner, ce qui est son principal défaut.

MM106

Plus gros que le M7, il est aussi mieux ancré. Sa forte productivité est l’atout qui en a fait le porte-greffe de type semi-nain préféré des producteurs québécois. Il drageonne rarement. Il excelle sur les sites bien drainés et ne devrait pas être planté sur des sites humides ou à forte teneur en argile à cause de sa sensibilité au Phytophtora (pourriture du collet).

G890

Nouveau porte-greffe issu du programme de recherche américain de l’Université Cornell à Genève, sélectionné en raison de sa résistance à la bactérie Erwinia amylovora (feu bactérien). Historique de moins de 10 ans en sol québécois. Très bon enracinement, ne nécessite pas de tuteurage.

MM111

Un semi-vigoureux. Quand tous les autres porte-greffes ont échoué, le MM111 peut être la solution de la dernière chance. Il performe très bien sur un large éventail de sols et est celui qui résistera le mieux à une sécheresse. Il n’est cependant pas une solution miracle à tous les maux. Il faut bien garder en tête que le MM111 demeure un arbre fruitier. Ce type de pommier se passe très bien de tuteurage puisqu’il est très bien ancré dans le sol.

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